Articles Environnement & Ecologie

  • Tous nos articles sont désormais relayés sur la page de l’ONG spécial environnement et climat cliquez ici

     

    VOIR L'ARTICLE
  • Le Roundup fera longtemps parler de lui

    Stéatose non alcoolique chez le rat soumis à de faibles doses de Roundup

    Voir l’article de nature.com

     

    VOIR L'ARTICLE
  • L’eau et les perturbateurs endocriniens

    Il y a plusieurs années notre combat pour informer était très intense. Sans trop de succès. Après tout, qui croyait les lanceurs d’alertes ? Nous avions fait plusieurs interviews, dont quelques extraits se trouvent sur notre chaîne YouTube sur la pollution de l’eau et les perturbateurs endocriniens. Nous informions a tout va par tous les moyens à disposition.
    Depuis l’eau a coulé sous les ponts et dans nos gosiers.
    Le combat n’est pas terminé. générations futures vient de publier de nouveaux résultats mais il y a pire, le peuple informé largement pourtant aujourd’hui ne fait rien.

    Article LCI

    VOIR L'ARTICLE
  • Le Monde – Le réchauffement climatique menace la reproduction des mouches

    Une équipe de chercheurs anglais a mis en évidence l’impact de changements climatiques violents sur les capacités reproductives de la drosophile.

    LE MONDE | • Mis à jour le | Par Donovan Thiebaud

    Drosophile de l’espèce « Subobscura ».

    Les stress thermiques résultants du réchauffement climatique menacent les capacités reproductives des mouches drosophiles. C’est le résultat d’une étude menée par des chercheurs anglais des universités de Sheffield et Exeter, parue dans Journal of Evolutionnary Biology. Une des membres de l’équipe, Rhonda Snook, explique : « Nous avons principalement montré que les populations de drosophiles diffèrent dans leurs capacités à faire face aux changements climatiques et que la reproduction de certaines populations peut vraiment être affectée. »

    Pour parvenir à cette conclusion, Rhonda Snook et ses collègues ont choisi d’étudier deux populations de drosophiles de l’espèce Subobscura. L’une provenait de Valence, en Espagne, et l’autre d’Uppsala, en Suède. Après avoir prélevé ces deux populations dans leur milieu naturel, les chercheurs ont étudié leur reproduction. Ils ont placé des œufs de chacune dans des éprouvettes à deux températures différentes : 18 oC, soit une température normale de développement, et 23,5 oC, une situation de stress thermique.

    Lorsque les larves sont devenues des drosophiles à maturité, les chercheurs les ont fait se reproduire entre elles afin d’étudier leurs œufs et le sperme pour les mâles. Les résultats sont sans appel, la viabilité des œufs et la mobilité du sperme étaient plus faibles pour les mouches ayant subi la température de 23,5 °C. Même si la population de Valence semble moins affectée par ce changement de température.

    Une baisse de la fertilité

    Pour Vincent Debat, enseignant chercheur au Muséum national d’histoire naturelle et spécialisé en génétique du développement, « l’étude est intéressante parce que non seulement sont étudiés des paramètres absolus [mortalité et stérilité] mais aussi un paramètre quantitatif tel que la fertilité ». Pour étudier celle-ci, les chercheurs anglais ont distingué un stress thermique (toujours à 23,5 °C) subi lors du développement, un stress subi à l’âge adulte, ou les deux.

    B : Benign temperature, H : Heat stress. BB : température normale pour les larves et les adultes, BH : température normale pour les larves et stress thermique pour les adultes, HB : stress thermique pour les larves et température normale pour les adultes, HH : stress thermique pour les larves et les adultes

    Ils en concluent qu’un changement important de température durant l’état larvaire entraîne ensuite pour la drosophile une baisse de fertilité significative, et ce pour les deux populations. Si la variation de température est subie à l’âge adulte, il n’y a pas de conséquence notable sur la fertilité.

    Pour Rhonda Snook, ces résultats sont inquiétants : « Les larves ne peuvent pas s’échapper de leur environnement, donc si elles subissent un stress thermique dans leur milieu naturel, la fertilité des drosophiles sera forcément impactée. »

    Autre point à souligner, la population de drosophiles de Valence est moins affectée par ces différents stress thermiques. Pour Vincent Debat, « les populations espagnoles étant plus situées dans une latitude centrale, elles sont plus en contact avec d’autres populations que les suédoises, plus marginales, et présentent une plus grande variation génétique qui leur permet une meilleure adaptation ».

    Les dangers des vagues de chaleur

    Rhonda Snook veut aller plus loin : « Ces résultats peuvent être généralisés. Tous les organismes passant par un état non mobile lors de leur développement sont susceptibles de subir l’impact du réchauffement. Les insectes sont particulièrement concernés. » Depuis l’ère préindustrielle, la température terrestre a augmenté de 1,2 °C, nous sommes donc encore loin des 5,5 °C ajoutés dans l’étude, mais les éléments climatiques extrêmes de plus en plus fréquents, comme les vagues de chaleur et les sécheresses, pourraient avoir d’importantes conséquences sur la survie de certains organismes.

    Pour le biologiste du développement Nicolas Gompel, de l’université de Munich (contributeur du cahier « Science & Médecine » du Monde), ces résultats sont tout de même à nuancer : « Le problème, c’est que l’on a sorti ces mouches de leur environnement : même si le laboratoire a attendu quelques générations entre le moment où les populations de mouches sont arrivées et le début des tests, les drosophiles ne s’étaient sûrement pas encore adaptées à ces nouvelles conditions. »

    Le principal défi pour les chercheurs va être maintenant d’essayer de comprendre précisément quels changements génétiques permettent à certaines populations d’être plus résistantes que d’autres aux variations thermiques.

    • Donovan Thiebaud
      Journaliste au Monde
    VOIR L'ARTICLE
  • Image 15Retrouvez tous les articles environnement – écologie et santé sur notre page facebook dédiée à ces thématiques, bonne lecture.

     

     

    VOIR L'ARTICLE
  • La hausse des niveaux de mer ne sera pas immédiate mais arrivera sans doute plus vite que le pensaient les chercheurs au vu de cette réaction en chaîne crainte.

    Voir l’article de l’OBS

     

    VOIR L'ARTICLE
  • Trop long, trop lent, des milliers de victimes.. Et enfin un ouvrage qui ouvrira des yeux.

     

    Un diagnostic compliqué, des malades que l’on n’écoute pas, des tests de dépistage imparfaits… Dans son livre « la Vérité sur la maladie de Lyme », qui paraît ce mercredi, le professeur Christian Perronne revient sur ce qu’il considère comme un « scandale mondial ».

    C’est le premier – et quasiment le seul – scientifique français à avoir sonné l’alarme sur la maladie de Lyme, transmise par les tiques, « un scandale mondial, l’un des plus effarants de l’histoire de la médecine ». En juillet, il a lancé dans « l’Obs » un appel avec 100 médecins, à l’attention de la ministre de la Santé, Marisol Touraine.

    ENQUÊTE EXCLUSIVE. Maladie de Lyme : l’épidémie qu’on vous cache

    Aujourd’hui, le professeur Christian Perronne, chef de service en infectiologie à l’hôpital universitaire Raymond-Poincaré de Garches, publie « la Vérité sur la maladie de Lyme » (1), dont « l’Obs », en kiosque jeudi 5 janvier, révèle les premiers extraits. Pathologie protéiforme, diagnostic compliqué, tests de dépistage imparfaits, errance tragique des malades, qui finissent, faute de soins, en chaise roulante, en service psychiatrique ou sur un lit de mort, déni des autorités de santé…, l’infectiologue raconte l’histoire folle de cette épidémie, devenue, presque par hasard, presque malgré lui, le combat d’une vie.

    « La maladie de Lyme explose, c’est un scandale sanitaire »

    Son livre sort à un moment sans doute charnière : aux Etats-Unis, Obama a signé, mi-­décembre, une « loi Lyme » nationale. En France, un « plan national de lutte contre Lyme » a été annoncé par le gouvernement, des centres régionaux spécialisés et un protocole national de diagnostic et de soins (PNDS) sont promis pour l’été 2017. La fin d’un long calvaire pour des centaines de milliers de malades ?

    En attendant, les médecins estampillés « Lyme », qui soignent en dehors du protocole officiel (trois semaines d’antibiotiques notoirement insuffisantes), continuent d’être harcelés. Le 3 décembre, l’un d’entre eux, le Dr Raphaël Cario, a ainsi été condamné en appel à quatre mois ferme de suspension par le Conseil de l’Ordre.

     

    Extraits de « la Vérité sur la maladie de Lyme », de Christian Perronne (Odile Jacob) : 

     

    « Garches étant situé dans la banlieue ouest de Paris, non loin de grandes forêts, j’ai été amené à prendre en charge plus de formes aiguës de maladie de Lyme que je n’en avais vues auparavant dans Paris. C’est ainsi que, tout à fait par hasard, j’ai constaté par moi-même que certains malades qui avaient été très contents des trois semaines réglementaires de traitement antibiotique rechutaient dans des délais plus ou moins longs.

    J’ai le souvenir d’une dame qui avait été piquée à la fesse par une tique lors d’une promenade en forêt. […] »

    VOIR L'ARTICLE
  • Image 11Un rappel des dégâts annuels du charbon alors qu’une partie du monde et de l’Europe étouffe actuellement sous des nuages de particules toxiques, de neige toxique et que l’on essaie de faire croire aux populations que c’est leur mode de chauffage hivernal qui en est la cause.
    Si vous êtes victime d’un cancer peut être pointera t’on du doigt l’une de vos habitudes ? Pourtant ces multiples causes environnementales sont les responsables majeurs des problèmes actuels de santé.
    Cessons de fermer les yeux.

    Voir l’article RTS

     

     

    VOIR L'ARTICLE
  • Image 10Nuage d’acide sulfurique a Sète – France :

    Accident toxique. Accident sous contrôle. C’est ce que l’on lit ci-dessous. Sans plus.

    Le vitriol est l’un des anciens noms de l’acide sulfurique. Très dangereux, il brûle en projections et provoque de graves dommages à long terme en inhalations.
    C’est notamment l’acide sulfurique qui est responsable des pluies acides. L’acide sulfurique est un polluant notoire et important.
    La question du jour : va t’on avertir et suivre la population des risques graves et avérés dont elle a été victime aujourd’hui ?

    Problèmes cardio respiratoires, œdèmes, cancers bronchiques voir cancer de l’oesophage ont été rencontrés chez des travailleurs de l’acide sulfurique (engrais, batteries, etc..). Ces vapeurs d’acide fort sont classées cancérogènes 1 par le CIRC.
    Va t’on suivre le devenir de ce polluant dans les jours à venir au vu de la pollution déjà majeure sur la France qui ne se disperse pas ? Quand est ce que les médias feront un vrai travail de préventions au lieu de relayer des informations juste pour les relayer et faire du sensationnel ?

    voir l’article France 3 région

     

    VOIR L'ARTICLE
  • Image 9Le danger des vitamines est sous estimé.
    Non seulement par la population qui méconnaît ses interactions et le fonctionnement biologique de ses propres organes mais également par la médecine qui délivre pourtant une vitamine qui peut tuer.
    Les médias sont également dangereux y compris les spécialistes des alternatives naturelles qui n’ont en général aucune formation a ce sujet.
    Comme preuve le ramdam incroyable autour de la vitamine D.
    Pourtant, encore une fois ce 22 décembre 2016 un enfant en bas âge, un petit nourrisson est décédé après l’absorption massive de vitamine D prescrite par son médecin.
    Uvesterol D est le nom de la préparation qui trône chez chaque maman qu’elle administre consciencieusement à son nouveau né puisque le docteur l’a dit.
    Il faut savoir que depuis 2006 ce supplément inquiète fortement. Les premiers questionnements intervenaient déjà en 1996. En cause de nombreux malaises, fausses routes, cyanose, pertes de conscience, bradycardie, pauses respiratoires. Des malaises confirmés par l’Affsaps et le laboratoire Crinex qui le fabrique.
    Malgré les prises de position de la revue Prescrire cette vitamine n’est toujours pas interdite et suspendue. Malgré le recul de plus de 10 ans, les mises en garde nombreuses, les pressions pour le retirer du commerce et un nouveau décès.
    Les malaises seraient du au produit huileux qui passerait en trop grande quantité ou trop rapidement (1 ml).
    Attention aux mêmes conditionnements en magasin bio ou en libre accès. La marque n’est pas la seule à offrir ce conditionnement mais la marque est prescrite par les pédiatres.

    Partagez partout cette information pour éviter à des mères de donner cette vitamine D à leur enfant. Évitons ensemble des accidents et gardons les petites vies précieuses à l’abri de ces combats d’argent.
    Les années ont passé malgré les mises en garde et ce décès n’est pas – ne sera jamais – acceptable !

     

    VOIR L'ARTICLE
© SOS Pour un Monde Meilleur 2013