Articles Environnement & Ecologie

  • Image 8Pollution continuelle en Chine. Totalement irrespirable et irresponsable. Les médias titrant à nouveau que cela va se dissiper dans quelques jours, ils oublient de nous dire que cette pollution nous arrive à chaque nouvelle dissipation selon les courants.
    Allons nous laisser les industries nous tuer lentement encore longtemps ? Toute la biodiversité, tout ce qui est vivant, nous.. est menacé.
    Mobiliser la population pour l’abandon total des énergies fossiles est urgent.

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  • Image 7Décès en masse de la population marine

    Ce phénomène très largement répandu depuis deux ans et particulièrement sévère en 2016 devrait plus qu’inquiéter puisque 2017 continue sur cette belle lancée.

    20’000 animaux marins, poissons et mollusques s’échouent chaque jour morts sur une plage de Nouvelle Ecosse depuis le 28 décembre 2016.
    Pollution majeure ? Réchauffement des océans ? Sonars ultrapuissants ?

    Les humains sont responsables de l’éradication des espèces. Il est temps de poser plus de questions à nos élus et d’arrêter le massacre de masse.

     

     

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  • Image 12Neige toxique sur la moitié de la France :
    Aujourd’hui nous pouvons dire qu’il n’y a plus de saisons.. Plus de vraie neige.. La pollution aux particules très intense de ce mois de décembre provoque en effet sur le territoire français de la neige…artificielle, industrielle et toxique.
    Ce beau manteau blanc est en réalité des particules de pollutions enrobées.
    Avant de vous rouler dans la neige, de laisser vos enfants la fouler au pieds, assurez vous que cette neige qui ressemble a s’y méprendre à la vraie ne soit pas toxique.
    Sa toxicité pour les enfants est avérée n’en déplaise à celui qui parle dans cet article.
    Les enfants sont au ras du sol.. Jouent avec la neige. Ils seront les premières victimes de ces nuages toxiques piégés.
    A bon entendeur…

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  • Ce film devra être vu par des millions de personnes. A partager sans modération.

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  • Image 13Le monde suffoque. Pas moins de 10 % des décès sont imputables aux particules fines. Ce chiffre est sous estimé pourtant. Cela vous concerne tous, Europe, Suisse, International.
    Asthme, maladies cardio respiratoires, cancers.. nous voulons tous vivre, si possible en bonne santé et ne pas mourir avant un âge avancé. Aujourd’hui cela ne sera plus possible sans des mesures drastiques, un combat des populations et un changement radical dans les sociétés.
    Vous êtes les acteurs de ce changement.

     

     

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  • Le Monde – L’évaluation de la toxicité des OGM remise en cause

    Une nouvelle étude conteste les mesures utilisées pour estimer l’innocuité des OGM avant leur mise sur le marché.

     

    L’évaluation de la toxicité des OGM remise en cause

    Une nouvelle étude conteste les mesures utilisées pour estimer l’innocuité des OGM avant leur mise sur le marché.

    LE MONDE | | Par Stéphane Foucart et Clémentine Thiberge

    Manifestation contre Monsanto, le 23 mai 2015 à Lyon.

    Les analyses effectuées sur les OGM avant commercialisation seraient-elles insuffisantes ? C’est la question que pose l’étude publiée lundi 19 décembre dans la revue Scientific Reports. Celle-ci montre en effet des différences significatives entre un maïs OGM et son équivalent non modifié, qui ne sont pas prises en compte dans les évaluations du risque conduites par les autorités sanitaires.

    De fait, l’autorisation des OGM est basée sur un présupposé : le « principe d’équivalence en substance ». Ce principe, controversé, implique que, si un produit est considéré comme substantiellement équivalent à l’organisme à partir duquel il a été fabriqué, aucune étude poussée n’est nécessaire avant sa mise sur le marché. « Il est généralement considéré que les maïs OGM et non OGM sont similaires, à l’exception du gène modifié », explique Robin Mesnage, chercheur en toxicologie moléculaire et coauteur de l’étude. Les OGM ne sont alors pas testés de manière approfondie avant leur commercialisation, comme il est d’usage de le faire pour de nouveaux médicaments ou de nouveaux additifs alimentaires. « Les analyses réalisées sur les OGM afin de les déclarer équivalents en substance sont très restreintes et consistent généralement en des analyses nutritionnelles », explique Robin Mesnage.

    D’autres analyses nécessaires

    L’étude, publiée par une équipe de chercheurs internationale, remet en cause l’utilisation de ce principe d’équivalence en substance en montrant qu’un OGM n’a pas, en descendant à l’échelle moléculaire, la même composition que son équivalent non modifié. Pour ce faire, les auteurs ont utilisé deux techniques de pointe : la protéomique et la métabolomique. La première permet de cartographier l’ensemble des protéines qui composent le maïs ; la seconde identifie les petites molécules issues du métabolisme de la plante (c’est-à-dire la manière dont elle dégrade les nutriments qu’elle utilise).

    Les scientifiques ont conduit leur étude sur un maïs génétiquement modifié – dit NK603, commercialisé par la firme Monsanto –, associé ou non au Roundup, l’herbicide auquel il est rendu tolérant – et son équivalent conventionnel. « Dans cette étude, les chercheurs sont allés beaucoup plus loin que ce qui a été fait jusqu’à présent », explique Bernard Salles, directeur de l’unité de toxicologie alimentaire de l’Institut national de recherche agronomique (INRA), qui n’a pas participé à l’étude. En effet, les méthodes d’analyse utilisées ne sont pas mises en œuvre par l’industrie agroalimentaire ou les agences publiques de régulation pour évaluer les cultures OGM. « Notre nouvelle étude décrit la composition du maïs OGM NK603 à un niveau jusqu’ici inconnu, confirme Robin Mesnage. Cette analyse nous a permis de mesurer 840 protéines et 314 petites molécules. »

    Et grâce à cette analyse poussée, les chercheurs ont trouvé de grandes différences de composition entre le maïs OGM et sa contrepartie non modifiée. « Nous avons ici de nombreuses molécules – protéines, vitamines, antioxydants – présentes en quantités différentes entre la plante OGM et non OGM, explique Robin Mesnage. Et certaines de ces molécules sont connues pour avoir des effets toxiques ou bénéfiques sur la santé. » Les résultats montrent par exemple que certaines substances dites polyamines – qui, écrivent les chercheurs, sont « selon le contexte protectrices ou toxiques » – peuvent être entre deux et près de trente fois plus présentes dans l’OGM que dans son homologue conventionnel. Les analyses effectuées par les autorités sanitaires utilisant le principe d’équivalence en substance ne prennent donc pas en compte ces différences.

    Lire aussi :   La discrète influence de Monsanto

    Quels effets sur les consommateurs ?

    Mais pour Bernard Salles, avant de remettre en question l’utilisation du principe d’équivalence en substance, des recherches supplémentaires sont nécessaires car « une différence statistiquement significative n’est pas forcément biologiquement significative », explique-t-il. En effet, il est possible de trouver des différences moléculaires entre des organismes, comme c’est le cas de l’étude publiée dans Scientific Reports, sans pour autant qu’il y ait de conséquence biologique ou toxicologique sur les consommateurs.

    « On observera probablement – ne serait-ce que pour des raisons épigénétiques – des différences entre variétés, voire entre plantes d’une même variété, car les semences auront par exemple été produites à des endroits différents, confirme Yves Bertheau, chercheur (INRA) au Muséum national d’histoire naturelle, qui n’a pas participé à l’étude. Reste à identifier si ces différences sont biologiquement importantes. » En effet, précise le toxicologue Jean-Pierre Cravedi, chercheur à l’INRA, « les techniques utilisées par les auteurs sont extrêmement sensibles et sont par exemple susceptibles de détecter des modifications subtiles des conditions dans lesquelles les plantes ont été cultivées ». La question est donc de savoir quels effets ces changements à l’échelle moléculaire peuvent avoir sur les consommateurs, humains comme animaux.

    « Les conséquences potentielles sur la santé restent incertaines, admet Robin Mesnage. Cependant, ce qui est certain, c’est que la création des OGM est faite à l’aveugle. Aujourd’hui, il est nécessaire d’établir une meilleure évaluation des effets non désirés des modifications génétiques. » Pour le chercheur, ce nouveau type d’analyse en profondeur pourrait être considéré comme une première phase de l’évaluation des risques qui justifieraient ensuite une étude toxicologique plus poussée.

    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/planete/article/2016/12/19/l-evaluation-de-la-toxicite-des-ogm-remise-en-cause_5051163_3244.html#8OGGyuva4UqfGJ2G.99

     

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  • Article la libre

    40% des études sur les OGM gangrénées par des conflits d’intérêt financiers

    AFP Publié le – Mis à jour le

     

    Une forte proportion des études scientifiques consacrées à l’efficacité ou la durabilité des plantes à organismes génétiquement modifiés (OGM) présentent des conflits d’intérêts financiers, conclut une étude publiée jeudi par l’Inra dans la revue américaine PLOS One.

    « 40%, soit 229, des 579 articles consacrés aux OGM que nous avons recensés et caractérisés présentent un conflit d’intérêt financier » a indiqué à l’AFP Thomas Guillemaud, directeur de recherche à l’Institut national de recherche agronomique (Inra), qui a signé l’étude avec deux autres chercheurs.

    M. Guillemaud, chercheur spécialisé dans la chrysomèle du maïs, a travaillé pendant un an avec Denis Bourguet, spécialiste de la pyrale du maïs, et un troisième chercheur, Eric Lombaert, pour répertorier et analyser un corpus d’études scientifiques parues dans le monde entier sur l’efficacité et la durabilité des semences OGM Bt.

    Ces plantes transgéniques, notamment maïs, coton et soja, produisent des protéines d’une bactérie, Bacillus Thuringiensis (Bt, soit la première génération d’OGM, interdits en Europe, NDLR), toxiques pour certains insectes ravageurs qui détruisent les récoltes.

    « Nous avons passé 672 études en revue », a expliqué M. Guillemaud. Sur ce total, 404 sont américaines et 83 chinoises. Les études sur les OGM consacrées à d’autres sujets, comme par exemple les risques toxiques alimentaires, ou aux conséquences environnementales ont été écartées.

    « Nous les avons réparties en trois catégories, celles dont la conclusion était globalement favorable aux OGM, défavorable, ou neutre ». Ensuite, article par article, les chercheurs ont analysé les affiliations déclarées des auteurs à des groupes semenciers ou de biotech produisant des OGM ou à des sociétés de lobbying travaillant pour eux », a ajouté le scientifique.

    Les auteurs de l’étude ont aussi examiné la façon dont les études elles-mêmes avaient été financées.

    « Une étude présentant un conflit d’intérêt est une étude dont au moins un des auteurs déclare une affiliation dans un de ces groupes semenciers ou de biotech ou qui est au moins partiellement financée par eux », a-t-il ajouté.

    Les articles dont le financement ne pouvait pas être identifié ont été écartés de l’étude, ce qui explique la différence entre le corpus initial de 672 articles et les 579 finalement gardés.

    « Le point le plus important est que nous avons aussi démontré qu’il existe une association statistique entre la présence de conflits d’intérêts et une conclusion d’étude favorable aux OGM » a-t-il dit.

    « En effet, lorsqu’une étude présente des conflits d’intérêts, cela augmente de 49% la probabilité que ses conclusions soient favorables aux OGM », a ajouté le scientifique.

    Parmi les articles sans conflits d’intérêt (350), 36% (soit 126 articles) sont favorables aux intérêts des sociétés produisant les OGM Bt alors que parmi les articles avec conflits d’intérêt (229 articles), 54% (123 articles) sont favorables aux intérêts des sociétés produisant les OGM Bt.

    « Nous pensions qu’il y aurait des conflits d’intérêts mais nous ne pensions pas qu’il y en aurait autant », a déclaré M. Guillemaud.

     

     

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  • Une étude de grande ampleur publiée le 7 décembre 2016 confirme que les perturbateurs endocriniens sont présents chez TOUTES les femmes enceintes.

    Les mobilisations de la population sont trop peu nombreuses, les choix consommateurs de la population refusant la grande distribution conventionnelle sont trop peu nombreux, une majorité de la population ignore encore les enjeux pour la génération future, elle ignore aussi que sa santé est mise en péril et donc sa vie en santé et longue à chaque ingestion.

    Il faut mobiliser et informer les citoyens en masse.
    Partagez ce texte et le résultat de cette étude. Informez vos proches. Changez vos modes de consommation pour faire pression sur les lobbies alimentaires. Changez pour vous protéger. Changez pour les enfants d’aujourd’hui et de demain.

    ARTICLE journal de l’environnement.net:

    On s’en doutait un peu, l’agence Santé Publique France le confirme: les polluants organiques, tels que phtalates, pesticides et bisphénol A, sont présents chez quasiment toutes les femmes enceintes. Publiés mercredi 7 décembre, ces travaux constituent la première étude de cette ampleur en France.

    Bisphénol A, phtalates, insecticides de la famille des pyréthrinoïdes, dioxines, furanes, PCB, retardateurs de flamme, composés perfluorés : tous «sont mesurés à des niveaux de concentrations quantifiables chez près de la totalité des femmes enceintes», constate Santé Publique France au terme d’une étude publiée mercredi.

    Mené dans le cadre d’un programme national de biosurveillance prévu par la loi «Grenelle 2»[i], cette étude constitue le premier tome d’un volet périnatal qui s’appuie sur 4.145 femmes enceintes ayant accouché en 2011, incluses dans la cohorte française Elfe. Après ce premier tome consacré aux polluants organiques, le deuxième aura trait aux métaux et aux métalloïdes, le troisième aux conclusions générales et perspectives.

    Phtalates et pesticides omniprésents

    Du côté des phtalates, 99,6% des femmes présentaient des niveaux quantifiables pour au moins l’un d’entre eux. C’est le DEP, utilisé dans les cosmétiques et les produits d’hygiène, qui est le plus présent, avec un niveau urinaire moyen de 35,4 µg/L.

    Les pesticides sont retrouvés chez 100% des femmes, avec une surimprégnation pour les pyréthrinoïdes (1,18 µg/L en moyenne), déjà observée lors d’études menées en France. Quant aux PCB, dioxines et furanes, au moins une substance est retrouvée chez toutes les femmes.

    Pour le bisphénol A, les résultats montrent un dépassement de la limite de quantification dans 70% des cas, avec un taux urinaire moyen de 0,69 microgramme/litre (µg/L). Un chiffre «inférieur à celui mesuré dans les précédentes études réalisées en France et l’étranger», ce qui pourrait être lié à la substitution par d’autres substances, dont les bisphénols S ou F, explique Santé publique France.

    Au-delà des molécules analysées individuellement, Générations futures s’inquiète de l’absence d’évaluation de l’effet cocktail lors de la mise sur le marché de ces molécules. L’association appelle «à mettre enfin en place une évaluation stricte et poussée de cet effet cocktail et de ces molécules, à laquelle nous sommes exposés tout au long de la vie et qui exposent a des moments clés les personnes (tout particulièrement les plus vulnérables, comme les femmes enceinte et les fœtus) à des polluants dont les conséquences pour la santé sont avérés».

     

     

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  • Le Monde – En 2015, des événements climatiques ont été accentués par le réchauffement

    Une étude internationale, publiée jeudi, se base sur les résultats de 25 enquêtes effectuées par 116 scientifiques de 18 pays sur cinq continents et deux océans.

     

     

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    En 2015, des événements climatiques ont été accentués par le réchauffement

    Une étude internationale, publiée jeudi, se base sur les résultats de 25 enquêtes effectuées par 116 scientifiques de 18 pays sur cinq continents et deux océans.

    Le Monde.fr avec AFP |

    Certains événements climatiques extrêmes de 2015, comme les vagues de chaleur en Europe, en Asie et en Australie, les incendies en Alaska ou les inondations en Floride, ont été accentués par le réchauffement climatique, souligne une étude internationale publiée jeudi 15 décembre. Ces travaux sont basés sur 25 enquêtes effectuées par 116 scientifiques de 18 pays sur cinq continents et deux océans.

    Les investigations n’ont, en revanche, pas détecté de lien avec des événements climatiques inhabituels, comme un retard de la saison des pluies au Nigeria ou les fortes précipitations responsables d’inondations en Inde en décembre. Les auteurs n’ont pas davantage observé de signature du réchauffement de la planète dans la rigueur inhabituelle de l’hiver au Canada et dans le nord-est des Etats-Unis en 2015, qui a été d’ailleurs l’année la plus chaude sur le globe depuis le début des relevés de températures en 1880.

    Impact « de plus en plus clair »

    Ce rapport annuel est le cinquième consacré à l’étude de l’influence du réchauffement climatique, attribué par la plupart des scientifiques aux émissions de gaz à effet de serre produites par les activités humaines, et les phénomènes météorologiques extrêmes.

    Stephanie Herring de l’Agence américaine des océans et de l’atmosphère (NOAA), un des principaux auteurs de cette étude publiée dans une édition spéciale du Bulletin of the American Meteorological Society :

    « Alors que nous améliorons nos capacités à faire la distinction entre l’influence du changement climatique et celle de la variabilité naturelle, l’ampleur des impacts régionaux de ce phénomène planétaire devient de plus en plus clair. »

    Les plus fortes indications de l’influence humaine sur le climat ont été constatées dans des phénomènes météorologiques liés à la montée des températures. « Les expériences faites avec la modélisation indiquent que le changement climatique induit par l’homme a été un facteur majeur pour créer les conditions » de ces canicules.

    Risque des incendies accru

    Outre une plus grande intensité des nombreuses vagues de chaleur en 2015, les chercheurs soulignent aussi que le réchauffement a conduit à une réduction de la couverture neigeuse en Amérique du Nord et à une superficie d’une faiblesse record des glaces arctiques en mars, au plus fort de l’hiver.

    Les chercheurs ont aussi conclu que le réchauffement du globe a sans doute joué un rôle dans des inondations en septembre 2015 à Miami, dues à une marée particulièrement haute. Ce phénomène provoquant des inondations, alors même que la météo est magnifique ces jours-là, a augmenté de 500 % depuis 1994, selon le rapport.

    Les scientifiques ont aussi déterminé que le changement climatique a probablement contribué à l’intensité record des typhons dans le nord-ouest du Pacifique, ainsi qu’au record d’ensoleillement en hiver au Royaume-Uni en 2014 et 2015.

    Le réchauffement est aussi en cause dans la propagation et la durée sans précédent des incendies de forêts en Alaska, où près de 2,1 millions d’hectares ont brûlé l’an passé, la deuxième plus grande superficie depuis le début des observations en 1940. Selon les chercheurs, « le changement climatique induit par les humains pourrait avoir accru le risque de ces incendies pendant la saison des feux de 34 à 60 % ».

    Le niveau des océans monte

    Les relevés mensuels de températures montrent que 2016 est en passe de battre un nouveau record annuel de chaleur sur le globe, qui sera le troisième consécutif. Les climatologues pensent que la fréquence et l’intensité de ces phénomènes météorologiques extrêmes vont probablement empirer avec la poursuite du réchauffement de la planète, qui accélère la fonte des glaciers et de la banquise arctique. Cela fait inévitablement monter le niveau des océans.

    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/climat/article/2016/12/16/en-2015-des-evenements-climatiques-ont-ete-accentues-par-le-rechauffement_5049769_1652612.html#vsYXoSHLlXOHwxrR.99

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© SOS Pour un Monde Meilleur 2013