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  • 15542048_1826239897648303_6596651714866383715_nUn immense merci à Chantal pour ses dons et sa bonne humeur toujours au rendez-vous !

     

     

     

     

     

     

     

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  • 15541420_726995817453828_5204506397247699180_nUn immense merci à Eleonor et Agathe pour leur bénévolat actif de jeudi dans un vestiaire bondé et chargé de dons et pour les dons d’Agathe de vestes polaires

     

     

     

     

     

     

     

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  • 2800 décès de sans-abri pour 2015 en France, 497 officiels. Chez nous pas de chiffre… Mais l’un de nos sans abri de Geneve un jour est décédé devant mes yeux aux urgences de l’HUG ou j’attendais avec quelqu’un. Leurs lits se faisaient face. Arrêt cardiaque brutal devant nos yeux. Réanimation. Rien.. La fin tragique d’un homme face à moi.
    Le vestiaire de SOSPMM existait déjà et il est impossible depuis qu’il s’arrête !!!!!
    Je refuse ces drames. Et vous ?

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    Au moins 497 personnes sans domicile sont mortes en 2015

    Les sans-domicile-fixe recensés par le collectif Les Morts de la rue ne représentent que la « partie visible de l’iceberg ».

    Le Monde.fr avec AFP |

    Ils sont morts à 49 ans en moyenne, soit plus de trente ans plus tôt que l’âge moyen de décès dans la population globale, et il ne s’agit que de la « partie visible de l’iceberg ». En 2015, 497 sans-domicile-fixe sont morts en France dans la rue, dans un abri de fortune ou à l’hôpital, a dénombré le collectif Les Morts de la rue, qui publie mercredi 14 décembre son décompte annuel.

    A ce nombre s’ajoutent les décès de 88 personnes « anciennement à la rue », précise le collectif, qui s’attache à compter les personnes mortes sans abri, grâce aux témoignages de riverains ou d’associations. « Le nombre réel de décès de personnes SDF est estimé à plus de 2 800 », affirme cependant le collectif. En 2012, l’Insee évaluait à 141 500 le nombre de sans-abri en France.

    Six mineurs de moins de 15 ans

    Plus de neuf personnes sur dix mortes dans la rue en 2015 (92 %) étaient des hommes. Quarante-trois étaient des femmes et six étaient des mineurs de moins de 15 ans (dont les parents sont tous étrangers). L’association recense 29 personnes qui sont mortes en 2015 « lors de tentatives de traversée [de la Manche pour rejoindre l’]Angleterre ».

    La mort achève un parcours de rue de dix ans en moyenne. Une séparation, une maladie, un parcours migratoire sont parmi les raisons fréquemment citées de perte du logement. Si les causes de décès sont connues dans seulement 55 % des cas répertoriés par le collectif, 28 % sont morts de causes violentes (chutes, accidents, agressions, suicides) et 27 % de maladie.

    Ces personnes sans abri ont rendu leur dernier souffle sur la voie publique ou dans des abris de fortune (44 %), dans un lieu de soins (37 %) ou dans une structure d’hébergement (13 %).

    Lire aussi :   Dans le bois de Vincennes, les sans-abris que cache la forêt

    Le froid, cause de moins de 1 % des morts

    L’association Les Morts de la rue s’attache à démontrer que plus que le froid, c’est la précarité qui tue :

    « Attribuer ces décès à des causes climatiques pourrait laisser penser qu’il s’agit d’une fatalité à laquelle nul ne peut rien. L’hiver comme l’été sont immuables, alors que la situation précaire face au logement ne l’est pas : nous pouvons agir contre la précarité. Pas contre les saisons. »

    Si les SDF meurent davantage en hiver qu’en été, comme la population générale, cinq personnes sont mortes d’hypothermie, soit moins de 1 %, en 2015.

    Le collectif insiste sur la nécessité de la prévention (suivi à la sortie de prison, suivi des jeunes issus du dispositif d’aide sociale à l’enfance, etc.), l’importance de trouver des solutions d’hébergement et de les pérenniser quelle que soit la saison, et d’accompagner les personnes au-delà de leur entrée dans l’hébergement. Les Morts de la rue a annoncé avoir déjà recensé 388 morts de sans-domicile-fixe en 2016 et précise : « La liste n’est pas exhaustive. » »

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  • Article Libération 11.12.20116

    Méthane dans l’atmosphère : le bétail qui change tout

    Par Coralie Schaub
    Paris, le 26 février 2016. Derniers préparatifs avant l’ouverture du Salon de l’agriculture. Photo Laurent Troude

    Selon une étude publiée ce lundi, la concentration mondiale du gaz qui piège 28 fois plus de chaleur que le CO2 a fortement augmenté ces deux dernières années.

    C’est une nouvelle alerte sur le climat, et elle a de quoi inquiéter sérieusement. Les concentrations de méthane dans l’air sont en train d’exploser au niveau mondial, constate une équipe internationale de scientifiques dans un article publié ce lundi dans Environmental Research Letters. Alors que cette hausse était relativement stable entre 2000 et 2006, cela a changé en 2007 avec un emballement particulièrement marqué en 2014 et 2015. Durant chacune de ces deux dernières années, les concentrations de méthane ont explosé de plus de 10 parties par milliards (une partie par milliard, ou ppb, est une unité de mesure indiquant qu’il y a une molécule de méthane pour un milliard de molécules). «C’est un contraste saisissant par rapport au début des années 2000, quand les concentrations de méthane augmentaient seulement de 0,5 ppb en moyenne chaque année», soulignent les scientifiques.

    Beaucoup moins présent dans l’atmosphère que le dioxyde de carbone (CO2), le méthane est un gaz à effet de serre bien plus puissant, puisqu’il «piège 28 fois plus de chaleur». «La stabilisation de la hausse des émissions de CO2 ces trois dernières années contraste spectaculairement avec la récente augmentation rapide des concentrations de méthane», remarque Robert Jackson, professeur à l’université Stanford (Etats-Unis) et coauteur de l’article. Les résultats pour le méthane sont «préoccupants, mais fournissent l’occasion d’agir immédiatement pour réduire ce risque, en complément des efforts faits sur le C02».

    Vaches. Selon les chercheurs, ce bouleversement pourrait compromettre les efforts de lutte contre le changement climatique. «Si nous voulons contenir la hausse des températures moyennes du globe à 2°C [par rapport à l’ère pré-industrielle, comme le prévoit l’Accord de Paris, ndlr], nous ne devrions pas suivre cette voie et il est nécessaire de réagir rapidement pour inverser la tendance», insiste Marielle Saunois, enseignante-chercheuse à l’Université de Versailles Saint Quentin (Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement) et auteure principale de l’étude.

    Mais les raisons de cette situation «ne sont pas encore bien comprises», admet-elle. L’emballement des deux dernières années en particulier est «vraiment intrigant». Il est en effet difficile de pister précisément les émissions de méthane, notamment parce qu’elles peuvent provenir de sources très différentes. «Contrairement au CO2, presque tout est diffus en ce qui concerne le « budget méthane » mondial. Des vaches aux zones humides en passant par les rizières, son cycle est plus compliqué», explique Robert Jackson. Mais une série d’informations (issues de l’inventaire à grande échelle des émissions de cette molécule, de mesures des concentrations dans l’air et de modèles informatiques) suggèrent que ce cycle a été énormément modifié au cours des deux dernières décennies.

    Les auteurs de l’article ont participé à l’élaboration de l’édition 2016 du «Global Methane Budget», dont la version finale est publiée ce 12 décembre, une étude diffusée tous les deux ou trois ans par la plateforme internationale de recherche Global Carbon Project. Elle présente un aperçu le plus complet possible des flux de méthane entre 2000 et 2012, et constate que les émissions anthropiques (d’origine humaine, qui représentent environ 60 % de la production de cette molécule chaque année) ont augmenté après 2007, bien que cela soit difficile à quantifier précisément. Beaucoup de défenseurs de l’environnement se sont inquiétés de l’impact du développement de l’exploitation du gaz naturel (en particulier de schiste), le méthane pouvant s’échapper des puits de gaz et de pétrole.

    Huile de lin. Mais selon les chercheurs, l’exploration et l’exploitation des énergies fossiles représente environ un tiers de la production anthropique de méthane. La source la plus probable de la hausse récente des émissions serait plutôt l’agriculture. Selon l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), le nombre de têtes de bétail dans le monde est passé de 1 300 millions en 1994 à près de 1 500 millions en 2014. Et les cultures de riz ont augmenté de façon similaire dans beaucoup de pays asiatiques. Or le système digestif des vaches émet de grandes quantités de méthane. Et les sols inondés des rizières favorisent la prolifération des microbes qui en produisent.

    Mais pour Marielle Saunois et Robert Jackson, le bilan n’est pas totalement négatif. Ils mettent en avant les recherches pour réduire les émissions de cette molécule dans les fermes. Enrichir l’alimentation des vaches en huile de lin semble permettre de diminuer la quantité de méthane qu’elles dégagent. «Il y a eu beaucoup d’attention portée sur l’industrie des énergies fossiles, mais nous devons regarder autant sinon plus du côté de l’agriculture, estime Robert Jackson. La situation n’est certainement pas désespérée, c’est une réelle opportunité.»

    Etonnant toutefois que les chercheurs ne mentionnent pas, parmi les pistes permettant d’expliquer cette explosion de la concentration de ce gaz, l’amorce d’un rejet massif du méthane par les sols dû au réchauffement climatique, comme l’indiquait une étude publiée dans la revue Nature le 1er décembre.

    Coralie Schaub

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    MERCI:

    Cécile, Noah, Sofija, Rebecca, Cassandra, Victor, Véronique, Nadri, Selma, Sonia, Giovanni, Dylan, Corinne, Chris, Alex, loïs, Pei-Ju <3

     

     

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    Nous remercions chaleureusement chaque participant à cette énorme collecte, et particulièrement Maria et son mari pour l’énorme travail accompli chaque jour en faveur des plus démunis ♡
    Un, deux, trois… on ouvre la porte 😉 waow !!!!

     

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  • mercis-de-word-merci-dans-la-typographie-française-marquant-avec-des-lettres-la-carte-décorative-des-textes-44449016-1Un immense merci à Monika et Cathy pour leurs dons de ce jour ♡

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Un immense Merci du fond du coeur a Seb Courage, Julien et toute l’équipe du Village du Soir qui a soutenu notre action en faveur des sans-abris de Genève : trois peluches = un sac de couchage.

    Grâce à vous tous, Village du Soir, participants, nous avons pu récolter la somme de CHF 1150.- .♡

    Du fond du coeur merci à vous tous ♡
    MERCI Katia et Rosy pour votre incroyable investissement.♡

    Toutes les photos sur notre page facbook Association Ong Sospmm – Genève

     

     

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  • 15401030_1821704061435220_566680282149928256_n   Aujourd’hui plus de 104 personnes comptabilisées sans compter les bénévoles, les donateurs qui se sont succédés.
    Par ce message, chers tous, nous voulions vous remercier chaleureusement. Voici plus de deux ans que vos dons sont exceptionnels pour ce vestiaire exceptionnel en faveur des plus démunis. On habille de pieds en capes les plus demunis du Canton, on trouve de tout pour tous les goûts et si ils le veulent on les habille en PRADA ♡♡♡♡ vous êtes exceptionnels !!!!!!!!!!

     

     

     

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    Eric et Sarita de Aspasie MSW étaient avec nous cet après-midi pour recevoir une partie de nos dons de Noël pour leurs bénéficiaires ♡
    Première distribution ce soir ♡

     

     

     

     

     

     

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© SOS Pour un Monde Meilleur 2013